Catherine Ysmal

Écrivain
12 jeudi juin 2014

Chronique littéraire par Blanc-seing : « A vous tous, je rends la couronne », Catherine Ysmal, Quidam Editeur, juin 2014

« (…) Et tout demeure clos et parler est une douleur et écrire est une nécessité. Mais qui déchire, mais qui fait saigner l’âme et broie le corps qui ne sait faire que cela : signifier le manque par la souffrance. Ilya, Ilya, double forclusion du nom du Père. Et, se nommant Ilya, l’on demeure innommé, exilé, sans demeure où habiter le langage.

Dans une écriture serrée, étonnante par sa force d’inscription à même la lame de notre conscience, Catherine Ysmal délivre là, sous la forme d’une parabole essentielle, quelques idées clé, quelques lignes de force nous mettant en demeure de comprendre ce qui, dans l’écriture, le langage, est destiné à nous saisir afin que nous en percevions la dimension ontologique et pas seulement le bavardage auquel, le plus souvent, il est commis. C’est de l’intérieur même du langage qu’il faut saisir ce qui s’énonce avec une rare force communicative. (…) »

C’est ici pour lire cette très belle lecture  :

« A vous tous, je rends la couronne » lu par Blanc-seing

12 jeudi juin 2014

Chronique d’Exigence Littérature, A vous tous, je rends la couronne », Catherine Ysmal, Quidam Editeur, juin 2014

« (…) On est au cœur de la douleur, là où s’est nouée l’écriture, en quelques pages d’une grande intensité où l’on sent qu’affleurent comme des icebergs les blessures les plus profondes, ce qui ne peut être dit dans le langage de tous les jours est ici reconstruit.(…)
Tout le langage entre en scène, syntaxe, vocabulaire bien sûr, mais aussi les lettres et l’on observera avec un sourire cette danse du Y qui fait les pieds au mur ou qui étend ses ailes. (…)

 

Ici pour la chronique complète : où se noue l’écriture

12 jeudi juin 2014

Critique, « A vous tous, je rends la couronne », Catherine Ysmal, Quidam Editeur, lu par Racines, juin 2014

« (…) Loin d’être un construction purement intellectuelle, l’écriture de Catherine Ysmal a quelque chose de profondément charnel dans son appel permanent au corps. (…)

A vous tous, je rends la couronne est un chemin, un chemin vers soi par et au travers de la langue, une naissance, un jaillissement poétique. Et la confirmation du talent unique de son auteur. »

C’est ici pour le lien internet :

Chronique de Racines

6 lundi mai 2013

Lecture d’Irène, Nestor et la Vérité, Catherine Ysmal par Marianne Loing, Sens Critique, mai 2013

Extrait et lien :

 

« J’aime quand l’enchaînement des lectures semble cheminer selon sa logique propre, guidé par quelque chose comme un instinct souterrain, qui se dévoile soudain.
Alors, annonçant les voix si particulières d’Irène et de Nestor, je reprends cette citation de Moo Pak, de Gabriel Josipovici : « Toute notre vie, nous sommes hantés par des langages que nous ne pouvons pas déchiffrer, pas vraiment entendre. […] Même ceux qui nous sont proches parlent un langage que nous ne comprenons jamais vraiment. » »

Irène, Nestor et la Vérité, par Marianne Loing, Sens Critique

25 lundi mars 2013

Chronique sur « Irène Nestor et la Vérité », Quidam Editeur par Exigence Littérature, 25 mars 2013

Extrait et lien pour la totalité de la critique

« (…) Catherine Ysmal réclame le droit d’utiliser les mots comme bon lui semble, cette histoire de Vérité, incarnée dans les rapports entre un homme et une femme, c’est essentiel, Irène ira jusqu’à se faire prendre pour folle, mais elle ne lâchera rien, on ne lui imposera pas le sens de ses mots, Nestor lui-même, mais trop tard, en prendra conscience…  »

Le lien pour accéder à la chronique complète : Exigence littérature