« C’est à l’intérieur de la langue que se tient le récit de Catherine Ysmal. Dans son creux, dans ce qui s’articule au profond du délabrement qui empêche l’émancipation, la naissance/renaissance de « l’être à part entière », l’existence libérée d’un nom tronqué, comme seulement balbutié, réduit à une phonétique appauvrie, le joug de tous les déterminismes. »
L’article complet est ici : Lecture de Brigitte Giraud